Ce qui m’embête, ce que son exclusion lui permet de crier au martyr.
Peut-être aurait-il mieux valu le laisser parler et se montrer pour ce qu’il est?
J'aimerais bien qu'on abolisse la section 3.b de l'article 319 du code criminel. Cette section protège spécifiquement le discours haineux dans le cadre d'une croyance religieuse.
" (3) Nul ne peut être déclaré coupable d’une infraction prévue au paragraphe (2) [discours haineux] dans les cas suivants :
b) il a, de bonne foi, exprimé une opinion sur un sujet religieux ou une opinion fondée sur un texte religieux auquel il croit, ou a tenté d’en établir le bien-fondé par argument; "
Référence : https://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/c-46/section-319.html
Oui, ce n'est pas une blague, le discours haineux religieux est spécifiquement protégé dans le code criminel.
Je suis bien d’accord. On ne peut pas repenser le transport sans repenser la ville.
J'ai quand même appris un nouveau mot : sartorial.
Si on suppose 15 millions d'adultes au Canada, nous devrions planter 133 arbres chacun. Deux milliards, c'est abstrait et c'est à une échelle que nous avons de la difficulté à évaluer. Cent-trente-trois arbres chacun me permet de plus facilité évaluer la difficulté de la tâche.
Imaginons si seulement la nature avait pourvu les oranges et les bananes d’un emballage protecteur adéquat.
J’ai une micro-forêt dans ma cour que j’agrandis tranquillement (la forêt, pas la cour).
Oui, les villes pourraient verdir pas mal plus.
À l’adaptation de cette série de présentations là?
Pignon et Cheval au lieu d’être des partisans rivaux d’équipes de foot européennes sont des partisans rivaux des Canadiens et de Boston. Au lieu d’avoir une maquette de la tour Effeil, Pignon a une maquette du pont Jacques-Cartier. Quelques sacres au lieu de quelques putains ou bordels.
Ce genre de choses.
Oui, un peu trop douce. Ces fêlés sont une menace aux institutions démocratiques avec lesquels on devrait agir fermeté.
Je sais bien. Comme je dis, ça m'embête, c'est un dilemne : on ne le laisse pas parler, ils crie au martyr : on le laisse parler, on l'aura laissé parler... Il n'y a pas de bonne solution.