Je partage cet article de blog de la BnF évoquant un jalon de l’histoire des chaussettes. Ça ne traite pas de création et de tricot au sens strict, mais j’ai pensé que ça intéresserait peut-être des gens ici.

Deux extraits :

Eléments courants de l’habillement dans la première moitié du XXème siècle, les support-chaussettes seront abandonnés à partir des années 1930 quand de nouvelles matières et techniques entreront dans la confection des chaussettes, leur permettant de tenir seules sur le mollet. Cette relégation sera très progressive et prendra une vingtaine d’années durant lesquelles cohabiteront chaussettes avec supports et chaussettes « autofixantes ».

Le support-chaussettes ou fixe-chaussettes est réservé aux hommes et « garçonnets », c’est-à-dire aux porteurs de pantalons et de chaussettes. L’accessoire n’est mixte que dans un cadre très délimité : la pratique sportive et notamment celle de la bicyclette, pratique qui se démocratise et s’ouvre au genre féminin à la fin du XIXème siècle. Prenant la licence de porter des pantalons pour faire du vélo, les femmes cyclistes adoptent aussi, par là même, chaussettes et supports-chaussettes.

L’objet ne me parait pas très confortable, mais je n’ai jamais testé !

Il avait été question du sujet des feuilles sur les voies ici.

On peut trier par type de point d’eau. Ils comprennent entre autres en plus des biens connues fontaines Wallace, les robinets d"eau pétillante, les trois fontaines de l’Albien (qui, alimentées par la nappe phréatique de l’Albien, ont un goût différent de l’eau de robinet habituelle), et les commerces permettant de remplir sa gourde gratuitement.

Je trouve par contre dommage qu’il n’y ait pas de filtre sélectionnant toutes les fontaines facilement accessibles en fauteuil roulant.

Dans deux semaines, la ville de Paris organisera des visites pour découvrir les métiers de ses agents. C’est en semaine et en journée, donc pas très accessible malheureusement, mais si vous êtes dispo ou si vous avez des connaissances qui le sont, je vous conseille d’y jeter un œil, il y a l’air d’y avoir plein de trucs intéressants.